Pour lui, c'est une absurdité totale, un suplice que souffre le condamné à cause de la malice des autres. Et ça m'a fait penser.
Au jourd'hui on a le célèbre exemple de EEUU qui permet cette peine, mais en Europe c'est uinterdite et on critique très souvent cette pratique là.
C'est vrai que connaÎtre le jour de ta mort et savoir que tu ne vas plus vivre doit être horrible.
L'argument des unes c'est qu'on n'est pas seigneur des vies des autres, de l'autre qu'ils doivent payer leur action. Mais ce n'est plus qu'une vengeance? La question est si on a le droit de nier la vie en liberté et non pas la vie. Vivre toujours enfermé c'est une vie? Et en plus il faut penser`aux erreurs posibles...
D'un autre cÔté, on doit penser à l'argent que les états dépensent maintenant pour maintenir ces gens enfermés, qui habitent avec des luxes payés pour la société, même si quelquesuns -de cette société- ne peuvent se les permettre à eux mêmes. Plus que des prisons ce sont des hôtels...
Et ce n'est pas un suplice plus grande d'avoir quelqu'un enfermé pour le reste de sa vie? Victor Hugo commence à dire que le condamné prefere mourir et les mêmes galériens prefererent mourir, mais, finalement le condamné prefere la vie...puisqu'il a peur et il pense à son enfant et aux années qu'il va perdre de sa ie.
Ce que Victor Hugo fait bien c'est d'éloigner l'argument du relativisme du degré de la faute. La question de la vie ne dépende pas de ce qu¡on a fait, mais c'est un droit indépendent.
De toute façon Victor Hugo décribe un homme trop réaliste; en lui l'évasion n'existe pas. Il regarde toujours sa codamne aux yeux et ça le fait tomber malade...ni un prete peut l'aider. Et ainsi il introduit une légere critique à l'église, puisqu'elle donne "une espèce de sermon sentimental et d'élégie théologique." C'est vague, inaccentué et sans profondeur.
Il faut aussi penser au moyen de prendre la vie du condamné, et en ça les français sont les rois: ils ont sa guilotine.
Alors pour lui la réponse est claire mais...j'hésite.
Qu'est-ce que vous pensez?

En resumen: he leído El último día de un condenado, de Victor Hugo. Un texto pequeño pero bien relatado que escribe un condenado otiempo antes de morir y explicando su trayectoria, lo que siente puesto que le parece una tortur inhumana. Pero, es o no justo? Podemos quitarle a alguien lavidaporque antes lo haya hecho? Acaso debemos quitarle "tan sólo" la libertad y mantanerlo durante el resto de su vida con lujos de todo tipo?
Qué es más justo en realidad? Independientemente de la condena, claro.
Qué piensan? Cual debe ser el argumento? o debe ser una suma?
Yo no dejo de dudar.