Films

C'est l'heure de parler un peu de cinèma. // Es la hora de hablar un poco de cine.
C'est vrai que je l'ai laissé un peu d'un côté pendant quelques mois mais...j'ai bien retourné!// Es verdad que lo he dejado un poco de lado durante un tiempo pero...he vuelto muy bien!
Alors voilà quelques mots sur les deux derniers films que j'ai vu://Así que aquí tenéis algunas palabras sobre las dos últimas películas que he visto:



-Underground; Emir Kusturica. Peut être que la plupart des gens le connaissent seulement pour son rôle d'acteur dans del films comme Farewell, avec M. Canet (Oh! oui! Il est beau!), un film de l'année dernier. Mais il est un réalisateur fantastique. Je n'ai vu que trois films je crois mais il est toujours amusant et plaisant.
Underground c'est de l'année 1995, mais on connaît aussi Chat noir, chat blanc (peut être, je connais pas le titre en français, desolée), de l'année 1998 et La vie c'est un miracle de 2004.


Emir Kusturica

Alors je vous raconte sur Underground:
La musique c'est comme toujours de Goran Bregovic: un musician qui mélange le folclore de son pays et des autres régions balcaniques. Une incroyable musique avec laquelles tu sens toujours la fête dans le coeur. C'est une musique pour danser, pour boire et manger. Pour ne faire que la fête chez Yugoslavia (l'ancienne)...
Alors cette musique nous amene toujours contents dans l'histoire tragique de cette nation, toujours derangée par les autres, tojours triste...mais toujours résucitée par cette musique qui nous leve de notres chaises et nous fait tout oublier. Underground c'est l'histoire d'un peuple qui a beaucoup souffri, qui ne sait plus contre qui lutter, qui a ete beaucoup de fois détruit. C'est un peuple perdu avec une histoire inconnue pour tous, meme pour lui même. Mais Kusturica arrive toujours a nous racobter des histoires sérieuses sans rien pleurer: par contre il nous fait toujours sourire avec un humeur parfois absurd mais si drôle. C'est un récit ironique de la propre histoire du réalisateur, de son identité; une déscription du peuple ignorant et des empires ambitieux qui ne pensent qu'a eux mêmes. Les fils me Kusturica me font toujours aprendre un peu d'histoire, un peu plus de verité de ces régions si eloignées de la mienne mais sans laisser de rire jamais.



-Underground; Emir Kusturica. A decir verdad, no mucha gente le conoce, auqnue creo que su fama crece. Aquí en París le he visto por todas partes nombrado...por una película del año pasado donde era uno de los perdonajes principales, junto a Guillaume Canet. Se trata de Farewell, cuya calidad desconozco por completo. Pero es un director muy bueno, bajo mi punto de vista, y lo es por varias razones: siempre cuenta historias interesantes, siempre me hace aprender un poco, me presenta una sociedad que desconozco, siempre me hace reír y adoro la música.
Conozco otras dos películas: La vida es maravillosa (2004) y Gato negro, gato blanco (1998), también muy buenas, sobre todo la primera.
La música corresponde a Goran Bregovic, un músico balcánico (ya entre serbios y yugoslavos no me entero) que hace esa música tan bailable, tan animada con tintes gitanos. Muy movida, siempre apta para beber y comer...un gran banquete y fiesta, mucha fiesta. Esa música c
balcánica, del folclore mezclada con otras músicas de mil sitios.
En cuanto a Underground, es la historia de un pueblo, el yugoslavo, así que es la historia del pueblo del director. Nos cuenta sus raíces y nos perdemos con ellas. Primero los nazis, luego los aliados, despues comunismo, Guerra Fría, y desaparición del propio estado en una guerra civil...demasiado como para enterarse. Así que esllos están perdidos. Nosotros también. Pero Kusturica, a pesar de hablarnos siempre de guerras y de problemas...nos da esa música, ese humor tan absurdo, esas imñagenes que una tras otra nos hacen, como a los protagonistas, sobrevivir pese a todo. Estas pelñiculas siempre me levantan el ánimo. ¿Cuál es la identidad yugoslava? Nadie lo sabe: tragedia en clave cómica.

-As tears go by; Wong Kar Wai. Dont dernier film a été présenté à la SEMINCI 2007 (Valladolid - oui, ma ville a un festival de cinéma international): My blueberry nights, avec Jude Law et Norah Jones. Chez Wong Kar Wai, on aimera toujours la couleur et la musique, mais aussi la sensibilité de l'artiste. Il met toujours la dose adéquate d'amour, de douleur, d'action, des histoires, d'atraction, de mort,... et il arrive à nous toucher toujours. TOUJOURS. Je j'adore, tout simplement; pour moi il a toujours réussi. En plus, il nous montre un monde qui a toujours quelque chose d'exotique pour nous, les européens. Il est chinois et c'est ce monde qu'il nous présent dans ses incroyables films, comme In the Mood for love (2000) ou 2046 (2004) ou encore Chunking express (1994). Il faut vraiment écouter la musique de la première, mais vraiment!
Je crois que, avec Woody Allen, il est toujours mon réalisateur préferé, et j'ai des raisons. En plus, J'adore Tony Leung...


Wong Kar Wai

Cette fois j'ai vu un film de l'anné où je suis née, curieusement: 1988. C'est l'époque des films de mafia chinoise, et Wong Kar Wai essaye aussi de réussir par là et ainsi nait notre artiste, ce poète.
Alors c'est une histoire de deux frères de la mafie, mais tout melangé avec une jolie histoire d'amour et raconté dès un point de vue très psicologique. On trouve un grand frère qui veut garder le petit, et lui, qui est un trerrible désastre. Et la fille...si belle aussi.
Alors c'est en effet un film de mafi mais pas comme d'habitude. Dans cette premier film du réalisateur on trouve deja ces sentiments desquels il nous parle toujours. On voit deja cette sensibilité qui nous touche si fortement.



-As tears goes by; Wong Kar Wai. Se me hace terriblemente difícil hablar de este director. Son demasiadas las sensaciones que encentro al mismo tiempo. Para mí la favorita siempre será Deseando amar (2000), cuya banda sonora es un imprescindible; pero también están Chunking express(1994), 2046 (2004), My Blueberry nights(2007) y otras que aún no he visto, como Happy together, Eros...
En estas películas son muchas las cosas que hay que destacar siempre la música y el color, SIEMPRE. Pero eso sólo a nivel técnico, porque las historias son siempre maravilosas: tintes de tristeza, de desamor, de amor, de felicidad, de unión, de desesperación, de dolor, de soledad... La sensibilidad de este hombre es abrumadora.
Por otra parte paramí es interesante tambiénp porque me muestra un mundo desconocido: China. Personajes que no acostumbro a ver, formas de comer, ropa...eso también me gusta y uno de sus actores fetiche -Tony Leung- es también interesante...
Esta película es del año 1988, la primera. En ese momento, el cine de mfia china está de moda y este director trata de temner éxito probando con eso. Lo tiene. Pero no solo muestra una historia de mafia al uso, es decir, con acción, sangre, asesinatos...sino que hace de gala de toda esa sensibilidad de la que hablo que a mí tanto me toca. Algo parecido a cuando leo a Murakami, hay algo especial que me conecta a ellos, a su forrma de sufrir,o de amar, o de ver el mundo.
Esta es la historia de la supervivencia de dos hermanos que viven bajo la protección de un padrino. El mayor tiene éxito y es respetado, el pequeño es un completo desastre. Es la historia de sus diferentes desarrollos psicológicos y de como uno de ellos encuentra finalemnete y por azar, el amor de su vida.
Toas sus películas destilan un dolor profundo y una soledad terrible con los que simpatizo. SIEMPRE MARAVILLOSO.